Une nouvelle machine à casser les services publics et à pistonner ses petits copains, financée par l'argent public comme toujours. Nadia Marik, fondatrice de l'association, est allée à bonne école pour ce qui est de gérer un organisme public dans l'opacité et le délitement ; il suffit de jeter un œil au bilan pour le moins controversé de son époux Richard Descoings à la tête de Sciences Po. On a encore affaire à des énarques bons qu'à se surpayer et draper leurs opérations délétères pour l'éducation dans un voile de philanthropie niaise. Les syndicats n'ont pas cette association dans le collimateur pour rien.